Not dead yet – L’autobiographie

1970, Abbey Road. Dans le studio où se déroule une session d’enregistrement pour le premier album solo de George Harrison, Phil Collins, 19 ans, est aux percussions. Décidé à être musicien à tout prix, il s’est formé dans les bars et clubs du Londres survolté des années 1960. Devenu batteur au sein de Genesis, il remplace ensuite Peter Gabriel au chant et compose les plus grands tubes du groupe. Sous le règne de Collins, Genesis connaît un triomphe planétaire qui propulse aussi la carrière solo du chanteur au sommet.
Mais Phil Collins a payé cher le prix de sa réussite. Sa vie familiale a été un naufrage : trois mariages, trois divorces et son alcoolisme qui l’a entraîné aux portes de la mort. Seul son amour pour ses cinq enfants lui a permis de survivre. Not Dead Yet retrace pour la première fois cinquante ans d’une carrière exceptionnelle. Qu’il raconte ses séances d’impro avec Eric Clapton et Robert Plant, la formation d’un big band mené par Tony Bennett ou les coulisses de la B.
O. du film d’animation Tarzan, pour laquelle il a remporté un Oscar, Phil Collins se livre avec finesse et une sincérité désarmante. Pour crier haut et fort qu’il n’est pas encore mort.